Méthodes de protection vis-à-vis

de Pilidiella diplodiella

 

 

  • Utiliser des cépages ou des porte-greffes tolérants.
  • Respecter les densités de plantation afin d'obtenir une vigne bien aérée.
  • Maîtriser la vigueur de la vigne :
    • Choisir un porte-greffe peu vigoureux ;
    • Maîtriser la fertilisation, notamment azotée, la réduire si nécessaire ;
    • Enherber. 
  • Modifier le microclimat du couvert végétal et de la grappe
    • Ebourgeonner ;
    • Effeuiller  la zone fructifère ;
    • Eclaircir manuellement ou "physiologiquement" les grappes.
  • Minimiser au maximum les blessures sur baies.
  • Maitriser les autres maladies et ravageurs de la vigne à l'origine de blessures diverses.
  • Eliminer les sources d'inoculum comme les bois porteurs de chancres, les rafles desséchées.
  • Éviter les irrigations par aspersion.
  • Éliminer les premiers  organes malades.
  • Éliminer les débris végétaux en cours et en fin de culture.
  • Ne pas travailler dans la vigne lorsque les plantes sont humides.
  • La mise en oeuvre d'une protection chimique n'est pas nécessaire en France. Ce champignon semble être contrôlé par les effets secondaires des traitements réalisés notamment à l'égard de Botrytis cinerea et de l'oïdium
Dernière modification : 28/08/2017
  • Auteur :
  • D Blancard (INRAe)