Des taches jaunes sont présentes sur les folioles de feuilles situées sur la partie basse de ce pied de tomate. <b><i>Leveillula taurica</i></b> (oïdium interne, powdery mildew)
Quelque taches jaune vif, parfois angulaires, parsèment cette foliole. <b><i>Leveillula taurica</i></b> (oïdium interne, powdery mildew)
Certaines de ces taches chlorotiques commencent à brunir et se nécroser. <b><i>Leveillula taurica</i></b> (oïdium interne, powdery mildew)
A terme, les tissus envahis finissent par mourir. Les taches se nécrosent alors progressivement en leur centre, et apparaissent alors des lésions brunâtres parfois concentriques. <b><i>Leveillula taurica</i></b> (oïdium, powdery mildew)
On distingue parfois un discret duvet blanc à la face inférieure du limbe des folioles oïdiées. <b><i>Leveillula taurica</i></b> (oïdium interne, powdery mildew)
<b><i>Leveillula taurica</i></b> (oïdium, powdery mildew)
<b><i>Leveillula taurica</i></b> (oïdium interne, powdery mildew) fructifie exceptionnellement à la face supérieure des folioles de tomate lorsque les conditions climatiques lui sont très favorables.
Le duvet blanc est en fait constitué par les nombreux conidiophores cloisonnés et plus ou moins élancés du champignon. A leur extrémité, des conidies sont formées. Notons que la conidie terminale est caractéristique car elle présente un apex pointu, dit <i>en fer de lance</i>. <b><i>Leveillula taurica</i></b> (oïdium, powdery mildew)
Les conidiophores de <b><i>Leveillula taurica</i></b>, champignon parasite obligatoire non cultivable sur milieu artificiel, sont longs et parfois ramifiés. Ils sortent par les stomates et portent des conidies isolées ou en très courtes chaînes. Notons que ce champignon forme rarement des cléistothèces. Oïdium (powdery mildew)
La première conidie formée est plus ou moins lancéolée et pointue à son extrémité. La seconde est plus ou moins ellipsoïdale à cylindrique. Leurs mensurations sont variables : 30-80 x 12-22 µm. <b><i>Leveillula taurica</i></b> (oïdium, powdery mildew)