Intérêts et limites
Facteurs étudiés |
Effets positifs |
Effets négatifs
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Organisation du travail |
- Diminution du nombre de passages pour le désherbage et la protection des cultures. - Technique simple à maîtriser. |
- Adaptation des successions pour que la parcelle soit libre au minimum un mois avant l’implantation de la culture. - Nécessité de 2 mois au minimum pour que la technique soit efficace.
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Economie |
- La bâche est amortie en un cycle cultural. |
- Investissement nécessaire : bâche de solarisation, bâche de serre, temps de préparation du sol, coût et temps d’arrosage, coût du matériel, temps de retrait et pose, temps et coût de désherbage d’entretien). - Revenu en moins dû à l’immobilisation de la parcelle et donc à l’impossibilité de cultiver pendant la présence du film plastique.
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Agronomie |
- Efficace contre de nombreuses adventices. - Destruction de certains ravageurs du sol (pupes, larves, nématodes), Ralstonia solanacearum non éradiqué totalement (néanmoins la population - Utilisable dans tous les types de sols. - Pas de délai avant la remise en culture. - Technique utilisable en agriculture biologique. - Effet secondaire de type « starter » constaté sur aubergine en Guyane dû à la minéralisation de matières organiques et de biomasse microbienne en surface.
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- Peu efficace contre les semences d’adventices enfouies profondément et contre les adventices à multiplication végétative. |
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Qualités des produits |
- Moins de résidus d’herbicides, de fongicides et d’insecticides.
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Environnement |
- Préservation du champignon utile Trichoderma spp. (et sûrement d’autres espèces) sans doute grâce à des formes de résistance enkystées. |
- Technique non sélective : impact négatif possible sur la faune du sol. - Risque de destruction non contrôlée des bâches si pas de possibilité de collecte peu onéreuse.
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Consommation d'énergie |
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- Augmentation si la mise en place des plastiques est mécanisée.
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