• IFPC
  • GIS-Fruits
  • INRAE
  • Ctifl

Méthodes de protection

 

 

Il existe de nombreux prédateurs tels que oiseaux et araignées, et également des parasites tels que des Braconidae, des chalcidiens et des tachinaires.


L’évaluation du risque s’effectue par un contrôle visuel en début de floraison sur cent bouquets floraux répartis sur cinquante arbres. Le seuil est de 8% des bouquets atteints. Ce seuil doit être cumulé avec les tordeuses du feuillage. L’intervention doit se faire sur les jeunes chenilles.


Les bandes piéges engluées placées en octobre sur le tronc des arbres permettent de stopper l’ascension des femelles aptères.


En hiver, des traitements de destruction des œufs (en fin d’hiver, ils sont plus sensibles) sont à prévoir en cas de forte infestation observée l’année précédente.


Traitements avant la floraison (plus efficaces) ou la chute des pétales.


L’utilisation de Bacillus thuringiensis en préfloraison donne des résultats intéressants.

Dernière modification : 21/05/2015